samedi 29 mars 2014

Time Square

Aujourd'hui, je bossais. Enfin, je devais bosser. Comme je suis quelqu'un de moderne, je travaille sur mon ordinateur. Autrement dit, j'ai passé la moitié de ma journée à glander sur internet. En grande partie sur Pornostagram d'ailleurs. Sur un site de lingerie aussi. Et sur quelques sexshops en ligne. À la fin il n'y avait plus qu'un mot dans ma tête : sexe. À un point assez obsédant. Vous voyez les immenses enseignes lumineuses ou publicités qui clignotent ? C'était sensiblement le même délire dans ma tête. Un genre de Time Square du cul.


Évidemment. Merci hein. MERCI.

J'essaie de me sortir un peu ça de la tête, et on me balance Hôtel California suivit de deux beaux gosses tatoués à la télé pendant que j'écris ça. Soit une des chansons qui figure sur ma liste de chansons qui donnent envie de faire l'amour toute la nuit, suivie du genre de mec qui me rend, hum, moite on va dire. Deux en plus. Combo breaker : on rajoute le fantasme du threesome avec.

Enfin bref. Au moins, mon après-midi a été plutôt fructueuse. Pas pour le boulot. Mais je suis tombée sur un paquet de trucs sympas. Et d'autres moins.


Un blog déjà. Bon, évidemment, il est en pause depuis décembre. Faut que je le découvre maintenant qu'il n'est plus mis à jour. Mais il vaut quand même le détour. C'est ici que ça se passe, chez La Preuve Par Moi. J'aime la façon d'écrire. Et puis je m'y retrouve assez, surtout dans cet article (spoiler : ça parle de faciale). Que j'avais commenté d'ailleurs, mais manifestement POUF ça a disparu. Ou alors c'est en attente de validation. Coup de cœur pour cette réplique, dans l'article sur la Bad Girl. Il FAUT que je trouve l'occasion de la replacer.

- Tu sais, c’est pas un stratagème de séduction. Je ne veux juste pas te voir.
- Samedi ?
- Je dine avec mes parents.
- Je ne veux pas diner avec toi.
- Je baise avec mes parents.
- Je ne veux pas bai… QUOI ?

J'ai vu la nouvelle vidéo de Rémi Gaillard sinon. Elle m'a limite donné envie de gerber. Sérieusement. Et pourtant je pense être plutôt portée sur le cul. Je n'ai rien contre le sexe. Encore moins contre le sexe en extérieur (si vous n'avez jamais eu l'occasion de tenter : foncez). Je n'ai rien contre le fait de sexualiser son corps. Je pense que mes photos sur Pornostagram peuvent en témoigner. Je voue un profond mépris à ceux qui banalisent et encourage la culture du viol en revanche. Ce que je veux dire par là, c'est qu'on doit pouvoir choisir quand on veut sexualiser son corps. Et avec qui on veut avoir des rapports. Même s'il ne s'agit ici que d'illusions d'optique. Une nana penchée, en train de faire ses courses, n'attend pas qu'un mec vienne la prendre en levrette. Je le prendrai très mal personnellement. Et pourtant une bonne levrette claquée comme on dit, c'est sûrement un des trucs qui me fait décoller le plus vite. Mais voila, j'estime avoir le droit de choisir le contexte, et la personne. Je trouve que ce genre de vidéo laisse penser que les femmes n'attendent que ça. À n'importe quel moment. Même si elles ne le disent pas. Que c'est normal de voir leur corps uniquement comme un objet sexuel potentiel alors qu'elles sont juste en train de lire, assise ou je ne sais quoi. Et que c'est marrant de le faire. Ce n'est pas le cas. Et la culture du viol est bien assez présente et bien trop souvent tue, elle n'a pas besoin de ça. Pas de lien pour la vidéo pour le coup. Pas envie d'en faire la pub. Et puis, si vous voulez la voir, elle n'est pas franchement dure à trouver.

Bref. Revenons-en à des trucs plus sympas : la lingerie et les sex-toys.

J'ai une passion pour les deux. Le seul problème c'est que ma carte bleue ne semble pas partager cet amour. Bon, je la comprends un peu. Être étudiante et aimer la lingerie fine, les sex-toys de compèt, ça semble assez peu compatible. J'ai envie de craquer quand même. Mais il faut pas. Mais j'en ai envie. Mais il faut pas. Mais ...

Comment ne pas céder devant ce genre de modèle aussi ? En voyant le prix et son relevé de comptes, ok.


(Pro-tip : le nœud se resserre, pour alterner entre téton caché et téton saillant. Elle est pas belle la vie ?)

J'ai découvert un nouveau sex-shop via son site aussi. Passage du désir. Oui, je vis dans une grotte parfois. J'ai bien aimé le site. Mention spéciale pour le lien Mon boss revient sur la page d'accueil, qui renvoie sur Google et un traitement de texte bidon. Je ne sais pas si ça fait vraiment illusion, mais ça m'a faite sourire. C'est le principal.

Ceux qui me suivent un peu sur Pornostagram savent que j'ai déjà deux jouets. Mais bon. Autant le plug est sympa, même si c'est tout ce qu'il y a de plus simple, autant l'autre est bof. Petit. Pas agréable. Heureusement qu'il était offert. Je ne suis pas résignée pour autant : il y a tellement de choses qui me tentent.
Un œuf vibrant, et la télécommande qui va avec. Ça doit être fun dans certaines situations. Genre en public. Surtout quand on ne contrôle pas.
▽  Des boules de geisha.
△ Le smart wand de Lelo, ou le Fairy. Le premier a l'avantage du design. Le deuxième est surnommé 30 secondes douche comprise. Pas besoin de vous faire de dessin pour vous expliquer l'origine de ce surnom.
▽ Un vrai gode. Gros. Tout simple, pas de vibration ou quoi. Plutôt réaliste (au niveau taille, texture, la couleur je m'en tamponne l'oreille avec une babouche).
△ Un plug de chez Rosebud. Ils sont beaux. Je les veux tous. Pas en même temps peut-être. Mais tous. Pourquoi pas un tailbud en prime. Ça peut être fun.

Bref. Je retourne chercher du boulot pour cet été. Je me connais. Je sais que je vais finir par craquer.

En prime, c'est toujours le Time Square du cul dans ma tête.

Cette soirée va être longue.

Je vous laisse avec de quoi en passer une bonne, de soirée : des boobs et de l'alcool.

Bisous tout plein.

vendredi 28 mars 2014

Vidéomeo

J'ai un peu de retard pour cet article. Je me suis surestimée pour le rythme de un article par jour. Enfin, sur le principe, non. En pratique, avec le boulot à côté, la fatigue et tout le bordel, ce n'est pas vraiment jouable. Je vais ralentir un peu je pense. Un article tous les deux jours, ce n'est pas si mal, si ?

Pour ce soir, je vais faire assez court. Le Tag Parfait a sorti sa cumpilation #28 aujourd'hui. Je crois que je suis tombée amoureuse. Plutôt que des mots, je vous encourage à aller voir la vidéo qui m'a fait cet effet. Ce corps. Ce visage. Ce sourire. Ce regard. Ça donne envie de ronronner.


(Je vous aurai bien mis la vidéo directement, mais je n'ai pas trouvé comment faire sur blogger vu qu'elle vient de Vimeo.) (Je suis encore assez nulle en blogging je crois.) (Si quelqu'un sait comment faire, je suis preneuse. Il aura ma gratitude éternelle et des cookies. Et une photo de boobs.) (M'en voulez pas trop pour la qualité des photos, ce sont des captures d'écran du coup. On fait comme on peut !)


Je retourne mater la vidéo.

Encore.

Balla Yana, le nom à retenir sinon.

jeudi 27 mars 2014

Cyber bondage

Aujourd'hui, des liens.

Internet je veux dire.

Je sens votre déception à cette annonce. Le titre était plus prometteur que ça. Je vais essayer de trouver des liens sympas pour compenser !

♠ Challenge en cours sur Pornostagram. Le thème ? Underwear. Ça vaut le coup d'y jeter un coup d'oeil. Il y a de jolis clichés. J'ai aussi joué le jeu avec ça, et ça. Je ne gagnerai clairement pas, mais c'est l'occasion de poster quelques photos de plus.

♠ Vous connaissez le jeu 2048 ? Je ne vais pas vous expliquer le principe parce que j'en serai incapable mais c'est assez addictif. Et chronophage. La première version que j'ai connu c'était celle ci. Des couleurs infâmes qui piquent bien les yeux, des loldogs, tout pour plaire. C'était sans compter nos amis de Fier Panda ! Ils n'ont pas traîné pour sortir une version avec des boobs, dans la lignée de leur boobsroulette (plutôt SFW ces temps-ci, mais ça varie). C'est assez perturbant au début, ça bouge dans tous les sens. Puis on y prend goût. J'ai fait mon meilleur score dessus. Coïncidence ? Je ne crois pas.

♠ Marre des boobs ? Comment peut-on en avoir marre des boobs ? Bon, chacun ses goûts après tout. Heureusement, il y a la version mâle. Avec des pénis. Plein de pénis. Elle est pas belle la vie ?

♠ Une fois qu'on est passé sur un réseau social, elles deviennent quoi nos données ? Nos informations ? Est-ce qu'on a vraiment le choix à ce sujet ? L'UFC Que Choisir a décidé de nous sensibiliser à ça à travers une petite campagne plutôt sympa. Rien que le nom déjà. "Sur les réseaux sociaux, vous êtes vite à poil" (qu'est-ce qu'on devrait dire pour Pornostagram alors ?). Je vous laisse voir les vidéos par vous même. La version femme ici, et homme juste là. Coup de cœur pour la version homme interactive. Toujours un plaisir de foutre un beau mec à poil, même si ce n'est qu'à travers un écran !

♠ Un projet qui date un peu mais que je soutiens vraiment : Mon corps m'appartient. Les explications juste ici, sur le blog de unejeuneidiote. Tout simplement parce que je pense que tous les corps peuvent être beaux à leur façon. Désirables. Tous ont des défauts. Tous ont des qualités aussi. Et que ce n'est pas parce qu'on décide de l'aimer, de le montrer, de l'érotiser qu'on est une salope ou je ne sais quoi encore. Mon corps m'appartient. Je peux être salope. Vraiment. Mais j'ai la prétention de vouloir décider quand, comment et avec qui.

♠ Tumblr regorge d'images. Pour le pire parfois. Pour le meilleur souvent. Je suis loin d'en avoir fait le tour, mais j'aime bien garder celles qui m'ont marquée sous la main. Quoi de plus simple qu'un tumblr pour ça, justement ? C'est par ici que ça se passe. J'aurai préféré faire ça sur Pinterest, c'est moins bordélique, mais leurs CGU n'étaient pas vraiment compatibles avec le contenu. Ah, au fait, c'est clairement NSFW.


Je vous laisse avec ces quelques liens. Vous trouverez bien votre bonheur dans le tas. Un petit GIF mignon tout plein pour la route.

Bisous bisous.


mercredi 26 mars 2014

Aujourd'hui, on lit : Juliette Society, par Sasha Grey

Je sais lire. C'est un bon début pour ce genre d'article. Et en plus vous savez quoi ? J'aime ça. Bon, dans l'année, je lis peu. Je trouve que le contexte ne s'y prête pas des masses. Je me rattrape pendant mes vacances : je dévore, littéralement. Mon seul problème c'est que, même quand je me laisse embarquer par un livre, j'oublie vite. Mon côté poisson rouge sûrement. Il n'est pas rare que je lise deux fois le même livre et de m'en rendre compte qu'un fois arrivée à la moitié. Du coup j'écris. Ce que j'en ai pensé. De quoi ça parle. Et c'est exactement ce que je vais faire ici.

Pour rester dans la lignée de l'article précédent, aujourd'hui, je vais vous parler de Sasha Grey et de son premier bouquin, Juliette Society.


Sasha, pour ceux qui ne la connaissent pas (sérieusement, c'est possible ?) ce sont des yeux de chat, une personne entière, cultivée, qui touche à un paquet de trucs dont la musique avec son groupe de noise et désormais l'écriture. Mais surtout, Sasha, c'est ça, ça ou encore ça. Et elle est plutôt douée dans ce qu'elle fait. Je lui envie assez ses talents pour les deepthroat d'ailleurs. Comment ne pas lire son livre pour voir comment elle se débrouillait niveau écriture ?


Juliette Society, pour faire bref, c'est une sorte de roman initiatique. Catherine, étudiante en cinéma, s'ennuie. Et comme bien des gens, dans ce genre de moment, elle fantasme. Petit à petit, ces fantasmes vont basculer vers le réel, en grande partie grâce à une autre étudiante, Anna, qui va lui faire partager ses récits. Puis ses expériences. Jusqu'à l'entraîner au cœur de la Juliette Society, une société secrète ou les riches et les puissants se laissent aller à tous leurs désirs, notamment des orgies phénoménales ou du sexe brutal, animal.

Autant vous dire que le sexe est au centre du roman. Si ça vous dérange, passez votre tour (que faites vous ici d'ailleurs ?). J'ai assez peu de références en matière de récits érotiques ou pornographiques, autant dire que j'attendais beaucoup du livre. J'avais peur d'être déçue. Par le genre, le récit ou par son auteure pour laquelle j'ai une certaine admiration. Au fil des pages, on alterne les scènes de sexes fantasmées par Catherine et celles qu'elle vit. C'est assez agréable d'ailleurs, ça permet un certain équilibre entre cru et cérébral plutôt réussi. Et puis, je dois avouer que même si j'aime bien les belles tournures, les belles lettres, parfois on a juste envie que ça aille droit au but. Que ce soit direct. Que ça nous pénètre d'un coup. Que ça mette un peu mal à l'aise. Quand je lis ce genre de roman, j'attends de ressentir un paquet de chose, et sur ça, Sasha, a plutôt bien réussi son coup. Je l'ai lu dans le train, en rentrant chez moi. Autant vous dire qu'en arrivant j'étais contente de retrouver mon copain.

Bon, je ne vais pas décerner le prix du livre de l'année à Juliette Society. Mais pour un début c'est plutôt prometteur. Si la belle continue dans cette voie, elle peut être sûre qu'elle aura au moins une lectrice. Le seul bémol pour moi ne se trouve pas dans les scènes de sexe. Un peu dans l'intrigue peut-être (pas mal mais rien de révolutionnaire - et puis, vu le temps passer à construire le décor, on espère beaucoup de la fin ce qui peut être assez décevant le moment venu). Surtout dans le reste. Pour reprendre les mots de Lulu Off The Bridge (dont j'aime beaucoup la critique), "il y a un côté bonne élève qui s'applique un peu voyant". Je me souviens avoir trouvé que ça virait un peu à l'étalage de culture par moment. Histoire de dire que même s'il s'agit de cul, l'héroïne et l'auteure en ont dans la tête. J'aime le cinéma pourtant, mais certaines références sont de trop, ou en tout cas, trop longues. Et elles n'apportent pas grand chose au final. Enfin, c'est Sasha, alors je lui pardonne. Et surtout, pour un premier roman, l'exercice lui réussit plutôt bien.

Du mal à comprendre certains avis par contre. Notamment ce qui est inscrit sur la quatrième de couverture, la comparaison avec Fight Club. J'ai cherché, mais à part une histoire de société secrète et un résumé sous forme de règles à suivre au dos du livre avec notamment "Trois — et c’est le plus important. Tout ce que vous verrez et entendrez à partir de maintenant doit rester entre nous" qui peut faire penser aux fameuses premières règles du Fight Club "Il est interdit de parler du Fight Club" je ne vois pas.

Au final, plutôt une bonne impression. J'aurai tendance à conseiller ce livre. Il se lit bien, et il tient ses promesses. Comme je vous l'ai dit, je suis rentrée avec pas mal d'idées en tête. Je suppose que c'est un peu le but de ce genre de littérature, non ?

Pour la route :
- Son interview sur Le Tag Parfait
- Sasha est aussi sur Twitter ou encore Instagram

À très bientôt j'espère, Sasha.


mardi 25 mars 2014

Pornostagram & boobies [NSFW]

Pour ceux qui ne connaissent pas encore, Pornostagram c'est un peu le même principe qu'Instagram, mais pour le porn. Ou, plus largement, pour toutes les photos en rapport avec le sexe, plus ou moins crues, plus ou moins esthétiques, ça dépend. L'idée c'est qu'une fois que tu as créés ton compte, tu peux poster une photo en quelques secondes en utilisant des filtres divers et variés.

J'en avais entendu parler peu de temps après la sortie, sur Le Tag Parfait, depuis je lurkais en douce, régulièrement, mais c'est tout. Et puis je sais pas, j'ai eu l'impression d'être un peu une escroc un jour, à mater tranquillement toutes ces photos d'amateurs (pas que malheureusement) sans jamais participer. J'ai décidé de me lancer, sous le pseudo de Minka toujours, et principalement avec des photos de boobs (en grande partie pour des raisons purement techniques : ce n'est pas simple de prendre autre chose en photo soi-même, surtout quand on a pas de miroir de plein pied ou autre). Rien de bien extraordinaires comme photos. Je me contente de ce que je peux, avec mon portable, on repassera pour la qualité de oufzor.


Pourquoi ? Grande question. Déjà, ça peut sembler évident, mais j'aime le sexe. Et les photos. Pas étonnant que j'ai atterri là dessus et passé pas mal de temps à mater. J'aime partager aussi. Et puis surtout, je ne m'aime pas spécialement. Dans l'intimité je suis très à l'aise avec mon corps, aucun problème à me balader les fesses ou les boobs à l'air, et je ne vais pas demander d'éteindre la lumière. Paradoxalement, au quotidien, mon corps et moi on est en guerre pour un paquet de raisons. D'une manière générale, j'aime pas faire dans le logique, c'est particulièrement vrai dans ce domaine. Bref. Du coup, c'est vrai que j'avais envie de voir comment mon corps pouvait faire réagir, ce que les autres en pensaient, de me regarder dans un miroir qui donne une réponse. Et j'ai été gâtée sur ce coup. L'accueil a dépassé toutes mes attentes : pleins de petits mots gentils, de followers, de j'aime, ... de quoi encourager à continuer !


J'apprends à m'apprivoiser, à apprivoiser le côté sexuel de mon corps en dehors de mon couple / ma chambre / mes relations intimes (rayer les mentions inutiles). Et puis, comme je l'ai dit, l'accueil est franchement agréable. Pas de jugements, juste des encouragements. Assez peu "d'invitations", de toute façon, je ne suis là que pour me montrer et mater pour le moment. Pas de propos lourds comme on peut en recevoir un peu partout ailleurs sur internet. J'ai l'impression de pouvoir disposer de mon corps comme je l'entends, et de pouvoir le partager, ce qui est rare à l'heure où on entend qu'une nana qui se fait agresser l'a bien cherché parce qu'elle était en jupe (cf ce qui est arrivé à Jack Parker, pour ceux qui vivent dans une grotte). Ce genre de paroles me donnent envie de gerber. Enfin, ce n'est pas le sujet. Revenons-en à notre site.

Pornostagram, ce qui est bien, c'est qu'il y a quand même une grande partie de photos amateurs, couples ou non. Bon, évidemment, des profils qui se remplissent grâce à Google image, ça existe. En le précisant ou non d'ailleurs. Mais il y a quand même toute une communauté amateur. Et ça, il y a pas à dire, j'aime. Voir des vrais corps, dans de vraies situations, dans lesquelles tu peux t'imaginer. Te dire que la vie, c'est ça, et pas que des corps en grande partie refaits, maquillés, retouchés, éclairés par des pros, ... comme on peut voir dans pas mal de pornos ou tout simplement dans la pub et les magazines au quotidien. C'est rassurant. On se sent à sa place. On se rend compte que le désir, la sexualité, sont des choses très personnelles. Que notre corps renvoie l'image qu'on veut renvoyer, qu'on peut être extrêmement sexy même si on ne ressemble pas à la dernière actrice bombasse du moment. J'ai rien contre les bombasses, loin de là. Crois moi que si tu me proposes une nuit avec Shakira, je n'hésite même pas. Et c'est aussi le métier des photographes et réalisateurs de savoir mettre les corps en valeur en utilisant les moyens dont ils disposent. Mais je trouve ça bien de rappeler parfois que la vie, ce n'est pas que ça. Qu'il existe des milliers de corps différents qui ont tous leurs particularités et qui peuvent être très excitants. Et que le sexe, ce n'est pas sale. On ne le dit pas assez.

Bref, voila pourquoi j'aime Pornostagram et pourquoi j'y contribue. Je vous laisse avec une photo de boobs en plus pour la peine.

KEUR KEUR <3


lundi 24 mars 2014

Çalu té ki ?

Il paraît que quand on est poli, on se présente. J'ai sûrement un paquet de défauts, mais je crois être plutôt polie, quand il faut en tout cas, je vais m'y atteler du coup.

Bref, tout ça pour en arriver à l'éternelle question : mais t'es qui en fait ?

Une fille, avec des boobs et tout le bordel qui va avec. Une étudiante d'une vingtaine d'années plus précisément. En France. Voila, on a fait connaissance.

Quoi, moi, escroc ? Mais non, quelle idée. Je pourrais dire un paquet de choses plus chiantes passionnantes les unes que les autres mais bon, je n'en vois pas l'utilité pour le moment. J'ai ouvert ce blog pour avoir un endroit où balancer un peu tout ce qui me passe par la tête librement. Du coup, ce qui m'intéresse (en dehors des licornes, de James Deen, des pandas et des photos de boobs - entre autres choses), vous le saurez au fil du temps. Idem pour ma façon de penser, de m'exprimer, ou je ne sais quoi.

Je préfère garder un peu de mystère sur qui je suis par contre, si on peut appeler ça comme ça. N'espérez pas voir ma tête par ici avant un moment du coup. Ni mon prénom. Je n'en vois pas l'utilité pour le moment. Et comme je l'ai dit, j'ai envie de pouvoir m'exprimer librement, sans avoir peur de tomber sur quelqu'un qui me connaît et avec qui je dois prendre des pincettes en temps normal (politesse, hiérarchie, tout le bordel).

Vous pouvez me trouver ailleurs par contre, toujours sous le pseudo de Minka Kitty Cat :
- sur pornostagram (NSFW même si vu le nom, je ne sais pas si c'est vraiment utile de le préciser)

Je vous laisse avec une petite vidéo d'un groupe que j'ai découvert un peu plus tôt dans la journée.

KEUR KEUR <3


dimanche 23 mars 2014

First but not last.

Bon, il faut bien commencer quelque part, alors je me lance.

Pendant des années j'ai tenu des "blogs". Rien de bien passionnant ou impressionnant. Plutôt des bouts de vie balancés sur Skyblog (on ne se moque pas, je suis sûre que la plupart d'entre vous sont passés par là ! Enfin, au moins ceux qui, comme moi, ont grandit dans les années 90). Enfin, je m'aperçois que ce petit espace d'expression me manque. Un endroit ou partager coups de cœur, coups de gueule, semblants de réflexions.

Ça fait partie de mes défauts - et qualités je suppose - mais je m'intéresse à un paquet de trucs, je suis curieuse, et en plus, j'ai du mal à fermer ma gueule. Quand des trucs me branchent, il faut que j'en parle, que je les partage. Et inversement, sinon ce n'est pas drôle.

J'aurai pu vous épargner ça et faire subir mes monologues à mon entourage mais c'est moins marrant. Mon côté sadique sûrement. Et puis, quoi de mieux qu'internet pour découvrir des choses sur lesquelles on ne serait jamais tombé sinon ? Ou pour échanger dans un semblant de liberté, dialoguer ouvertement sous couvert d'un anonymat illusoire ?

Oh, je ne vous promet pas du grand art. Encore moins une régularité à toute épreuve. Je vais juste essayer de rester moi même, d'écrire dans le style le moins lourd possible et d'embarquer quelques uns d'entre vous avec moi.

Je vais m'arrêter là pour le moment, histoire de ne pas vous faire fuir trop vite avec un énorme pavé dès le début. Et puis, nous ne sommes pas encore intimes, il faudra attendre un peu pour des présentations plus poussées.

KEUR KEUR <3